On ne rêve plus. Le monde s'enterre sous la peur, l'insécurité ? Est-on prisonnier à ce point de la désespérance, quelle place laisse-t-on au possible, au sourire, à autrui ?
Notre XXIème siècle n'est-il pas malade de cette course au bonheur individuel, loin de la joie véritable, celle qui risque, ose, de lance dans l'inconnu de la rencontre.
L'amour est-il dans le confort douillet d'un "autour-de-moi" ou dans la lancée vers autrui, au mépris de l'inconfort et de ce que cela pourra générer chez moi de peine et de souci...
Difficile tension me direz vous... ?
Mais n'est-ce pas là l'enjeu d'une humanité en devenir...